Le SAPD, ou appareil de suspension de la phalange distale
Un bien petit acronyme pour bien des polémiques. Mais pour commencer, la phalange distale c’est quoi ? C’est tout simplement P3, l’os qui se trouve à l’intérieur du sabot.
Depuis des décennies, il a toujours été dit que la paroi avait une fonction porteuse. Depuis quelques années, ce dogme a été très fortement remis en question. Je ne me prétends pas plus érudite ou plus maligne que d’autres. Mais de par mon intérêt particulier sur la fourbure, j’ai juste un regard totalement différent sur le sujet.
En effet, ABSOLUMENT TOUT le problème de la fourbure, c’est la qualité de la suspension de P3. Et les pieds fourbus, je ne vois presque plus que ça.
Remettre en cause la suspension de P3 par les lamelles dans le sabot, c’est nier l’existence de la fourbure elle-même. Pourquoi y a-t-il bascule suite à une colique par exemple ? Tout simplement parce que les lamelles se déconnectent les unes des autres et que P3 n’est plus suspendue à la paroi. Il n’y a AUCUNE autre raison d’un point de vue mécanique. AUCUNE. Enfin si, du point de vue de l’équilibre du pied, il y a tout un tas de raisons qui feront que ça basculera plus ou moins. Mais dans ce type de crise c’est UNIQUEMENT le fait que le « scratch » lâche qui fait que P3 s’effondre. Dans les fourbures de type hyperinsulinémique, le mécanisme est un peu différent et ne remet pas forcément en cause la suspension de P3.
Histoire de ne laisser planer aucun doute sur le fond de ma pensée, je l’affirme ici : OUI la paroi a une fonction porteuse.
Doit-on pour autant laisser la paroi être la seule structure porteuse ? Bien-sûr que non ! Doit-on laisser la paroi porteuse dans son intégralité ? Je ne le pense pas non plus. Par contre à mes yeux, supprimer la totalité de la paroi à chaque parage est un véritable non-sens. Ceci à deux points de vue :
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- D’abord au niveau de la micro-circulation sanguine dans les lamelles (si on vous parle d’hémodynamique, c’est de ça qu’il s’agit).
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- Ensuite parce que ça fait de la sole la principale surface porteuse, parfois la seule, ce qui rend BEAUCOUP de chevaux mal-à-l’aise (pour ne pas dire boiteux). J’y reviendrai plus tard dans cet article.
Nota : boiter signifie avoir une locomotion dissymétrique. Quand vous avez mal aux deux pieds, vous marchez comme un playmobile et visuellement vous ne boitez pas. Pour un cheval, on dira qu’il marche sur des œufs. La réalité est qu’il BOITE DES DEUX PIEDS !! Et souvent il boite même très fort, mais ça ne se voit pas : il reste autant qu’il le peut à l’arrêt. Et il se lance souvent d’un coup…on se dit alors « après quelques pas, il va mieux ». En réalité il ne va pas mieux, son cerveau lui a juste dit de faire avec la douleur.
Revenons-en à la microcirculation
Il y a une expérience récente que j’évoque souvent et que l’ont doit à l’éminent Professeur Pollitt, spécialiste de renommée mondiale de la fourbure et du pied du cheval en général.
Pour comprendre ce qui a été fait, il faut d’abord comprendre le « mécanisme du pied » : pour résumer, lorsque le cheval marche, l’intégralité de la boite cornée subit une distorsion à chaque fois que le cheval charge et décharge son membre. De manière très simplifiée, quand le cheval met son poids sur un pied, le haut de la paroi descend vers l’arrière et l’arrière du pied s’écarte légèrement. Tout ceci est en lien avec la circulation sanguine dans le pied, mais jusqu’à récemment, les connaissances étaient plutôt de l’ordre de la supposition.
Dans cette expérience, le mécanisme du pied a donc été totalement aboli chez 6 chevaux d’expérience. Pour cela on a vissé l’os et la paroi ensemble. Oui je sais ce que vous pensez, mais c’est hélas de cette manière que la science avance.
Étonnamment, au bout de 2 jours, plus aucun cheval ne boitait et les analgésiques ont été stoppés. Les chevaux ont été abattus au bout de 7 jours et leurs pieds ont été disséqués et observés au microscope. Bien qu’aucun cheval n’ai présenté de signe de douleur, TOUS les chevaux de l’étude présentaient des lésions de fourbure importantes au niveau des lamelles. Bien entendu, P3 étant suspendue à la paroi grâce aux vis médicales posées au début de l’expérience, il n’y a eu ni bascule, ni descente distale…et surtout aucun signe d’une quelconque douleur.
Fourbure sans douleur ? L’équipe du professeur Pollitt en a déduit que, puisqu’il n’y avait pas eu de mouvement de P3, il n’y avait pas eu de lésion au niveau du chorion solaire. Ce serait donc la pression de P3 sur la sole qui générerait la douleur dans ce type de fourbure. En clair, la mort cellulaire par manque de vascularisation serait indolore tant qu’il n’y a pas de lésions associées au mouvement de P3. Et c’est d’ailleurs exactement ce qui se passe lors d’une fourbure d’appui ! Les lésions se créent sournoisement dans le pied et le cheval se met à boiter d’un coup lorsque les connections lâchent et que P3 s’effondre.
J’ai parlé de manque de vascularisation ?? Effectivement. Ce qui est principalement ressorti de cette étude, c’est que c’est le mécanisme du pied qui permet la micro-circulation dans les lamelles. Si cette micro-circulation est altérée, les cellules meurent sans qu’on s’en aperçoive…jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
En ce qui concerne notre paroi qui devrait être porteuse (ou pas ?), cela signifie que la paroi DOIT être un minimum porteuse car c’est le mouvement de P3 vers le bas et vers le haut qui permet d’assurer le pompage sanguin et lymphatique au niveau des capillaires. Et le Pr. Pollitt l’a démontré, lorsque le mécanisme du pied est aboli, les lamelles kéraphyles (sur la paroi) présentent les signes de fourbure (amincissement et allongement). Et les cellules des lamelles podophyles meurent littéralement (celles attachées à P3). Les lamelles podophyles sont constituées de chair : c’est un tissu vivant. Il y a des vaisseaux sanguin, lymphatiques et des cellules qui vivent et qui meurent. Si les cellules meurent en grande quantité, alors ce qui ressemblait vu du dessus à une fermeture éclair devient totalement lisse.
Quand ces lamelles sont totalement nécrosées, il n’y a PLUS AUCUN retour en arrière possible : le scratch au niveau de l’os a totalement disparu. Celui de la paroi se refera toujours…mais la disparition de celui de l’os condamne le cheval à mort. Inéluctablement. C’est d’ailleurs pour cette raison que la fourbure d’appui est la seule qui soit irréversible. Le seul moyen de sauver le cheval serait alors une amputation et la pose d’une prothèse.
Au niveau de la paroi, les lamelles kéraphyles peuvent aussi « fondre ». Mais la différence est qu’elles se referont correctement depuis leur origine, au niveau de la couronne. La matrice de la paroi est ainsi faite. Il suffira donc d’attendre une nouvelle repousse pour que le pied se reconnecte par le haut. Par contre si les lamelles podophyles ont disparu, alors il n’y a AUCUNE reconnexion possible. En clair la paroi ne sera plus jamais connectée à l’os et la fourbure ne guérira jamais. Et c’est VRAIMENT extrêmement douloureux pour le cheval qui se retrouve de tout son poids sur les tissus vivants situés entre la sole et P3. Si le cheval était fait pour marcher UNIQUEMENT sur sa sole, la fourbure d’appui ne poserait pas de problème. Comme je l’ai déjà dit, dans l’expérience de Pollitt, aucun cheval n’a présenté de signe de douleur ! Il semble donc bien que ce soit l’effondrement de P3 sur les tissus solaires qui soient douloureux lorsqu’il y a bascule. La nécrose tissulaire et la déconnexion podophyle/kéraphyle n’a pas fait boiter les chevaux.
Pour conclure, je vous laisse observer ce qui se passe lorsque P3 se déconnecte de la paroi. Sur cette photo et cette radio, il s’agit du petit poney espagnol Pumuki dont j’ai déjà parlé plusieurs fois.
Son cas est très intéressant à étudier car il montre un deuxième point capital : une fois que le SAPD a lâché, P3 s’effondre…mais seulement dans une certaine mesure ! Et elle reste miraculeusement suspendue dans le vide…
C’est là qu’on en vient à la deuxième structure qui participe à la suspension de P3 et qu’on ne nomme jamais dans ce cadre : la couronne.
La couronne fait parti intégrante de la suspension de P3 : elle suspend P3 par LE DESSUS de la paroi !
Un schéma valant 1000 mots, voici comment cela fonctionne. Ce que l’on sait peu, mais qui a pourtant une importance capitale en ce qui concerne la fourbure (et donc la suspension de P3), c’est que la couronne ressemble en réalité à un gros élastique qui fait le tour du pied…et qui se termine directement SOUS P3 ! Et oui, le coussinet digital et la couronne ne font qu’un ! Et ce point de détail explique bien des choses, notamment pourquoi les talons semblent pousser plus vite chez les chevaux fourbus ! Mais nous y reviendrons dans un autre article.
Je disais donc que P3 ne peut pas descendre plus bas. En effet, elle est suspendue par le coussinet digital et la couronne…elle-même solidement fixée sur tout le tour et au sommet de la paroi. Donc arrivé à la limite de sa très faible élasticité, c’est bien la couronne qui empêche P3 de s’effondrer encore plus bas. Et encore une fois, dans ce cas extrême, la paroi joue un rôle porteur…par le haut cette fois-ci.
Bien que ce ne soit habituellement pas quelque chose à faire, à ce stade c’est le fait de laisser la paroi être la SEULE ET UNIQUE structure porteuse (avec autant d’avalure que possible) qui a sauvé Pumuki. Si on avait voulu le faire porter sur sa sole…et bien déjà il n’y avait plus de sole ! On l’aurait donc fait porter sur son os, avec toutes les conséquences dramatiques que cela aurait impliqué.
Mais je reviens à mon sujet. Nous avons donc vu jusque-là que la paroi avait une fonction porteuse car fixée à P3, ainsi que la couronne. Passons maintenant à ce qui se passe DERRIERE P3 : j’entends par là sur le tiers arrière du pied !
Quelle est donc la fonction porteuse de l’arrière du pied ?
Dans le cadre de la réhabilitation des chevaux fourbus, l’arrière du pied est LA PRINCIPALE zone à renforcer. Spoiler : dans le cadre de la réhabilitation de n’importe quel pied, c’est aussi cette zone qui doit être renforcée.
Qu’est-ce que j’entends par là ? Je veux dire que je ne biseaute jamais la zone à l’arrière de P3. Si elle est évasée, je peux la « ramener » par l’extérieur (en pariétal si vous préférez), mais je laisse la paroi strictement porteuse dans cette zone. En ce qui concerne les finitions, je peux légèrement roller pour donner plus d’ergonomie lors du dépôt du pied, mais ça s’arrête là.
Est-ce que ça fait une différence ? Sur certains chevaux, pas du tout. Sur d’autres, ça fait TOUTE le différence : on passe même parfois de chevaux sensibles durant 2 semaines après parage à des chevaux qui repartent en trottant.
Encore une fois, une image valant 1000 mots, voici un exemple (non contractuel) d’où j’arrête mon roll et comment je gère mes talons. Si vous observez bien, la paroi de l’arrière du pied est porteuse, bien que j’ai fait un petit roll de finition. Et l’arrière de la fourchette dépassait, je l’ai donc taillée.
Je ne cherche pas à reculer absolument mes talons. Ma priorité est de les mettre à la bonne hauteur et de ramener la pince à sa place. Quand c’est fait, la magie opère et l’arrière du pied se redresse. Et si ce n’est pas le cas, en général c’est du ressort de l’ostéopathe : c’est la locomotion et la posture qui sont altérées.
Ici il s’agit d’un postérieur de poney légèrement fourbu : j’ai reculé la pince en la rollant très fortement. J’ai baissé les talons sans exagérer : je suis restée environ 1 ou 2mm au dessus du SOC. Observez le changement d’angle au tiers supérieur de la paroi : il démontre qu’une succession de parages du même type a été suffisante. Un tel parage sur ce poney a permis une réhabilitation du pied en douceur.
Et surtout, ce qui me préoccupe le plus : mon cheval ne sera pas sensible après parage. Il pourra en effet se porter avec la moitié arrière de son sabot tout en ne sollicitant pas les lamelles lésées autour de P3.
Nota : chaque pied est un cas à part. Je ne conseille JAMAIS de parer deux chevaux strictement de la même manière. Un pied n’en est pas un autre. Et un cheval n’en est pas un autre. Ceci est juste un exemple, valable sur CE poney à cet instant précis.
Mais à l’intérieur de la zone arrière du pied, quelle est la structure qui porte ?
L’arrière du pied forme une masse à la fois dense et relativement souple. Encore une fois on pourra citer le coussinet digital qui a une fonction amortissante très importante, surtout lors du dépôt du pied. Mais ça ne s’arrête pas là. A droite et à gauche, il y a les cartilages collatéraux ou ongulaires…appelez-les comme vous voulez. Ces cartilages vont participer à l’amorti en limitant les distorsions du pied, tout en permettant une certaine souplesse entre les deux talons. C’est pourquoi un arrière pied fort est primordial pour le confort du cheval : cela lui permet de marcher sur tous les terrains en supportant les distorsions latéro-médiales liées aux inégalités du sol. Certains chevaux sont inconfortables sur les sols inégaux. On cherche alors à savoir comment protéger et épaissir la sole. Mais parfois, c’est derrière que ça se passe ! Et pour peu qu’il y ait une pourriture profonde de la fourchette, le cheval peut carrément refuser d’utiliser l’arrière de son pied…qui sera alors de plus en plus faible et atrophié.
Venons-en à la structure dont j’entends souvent qu’elle devrait être la seule structure porteuse (ou au moins la principale) : la sole
Qu’on le veuille ou non, tant que la connexion des lamelles podopyles et kéraphyles tient…la sole en en tant que structure porteuse n’est pas une nécessité absolue. Du moins, de manière purement factuelle, le plus souvent elle ne l’est pas. Un cheval peut marcher toute sa vie sur sa paroi sans que P3 ne s’effondre jamais. Suis-je en train de dire que la sole ne doive pas porter ? Absolument pas. TOUTES les structures doivent être sollicitées.
Ce que je dis simplement, c’est que dans la pratique, si vous supprimez toute la sole d’un cheval qui va bien, P3 restera suspendue bien à sa place dans la boite cornée. Si si. Bon n’essayez pas, lorsque le chorion solaire est à l’air libre, on court vite à la catastrophe.
Sur cette photo, un pied de Tristam 3 semaines après parage : comme ses pieds ne présentent pas d’évasement, la pousse se fait de manière tubulaire, c’est-à-dire uniquement de haut en bas. De plus à ce moment, la sole s’était exfolié.
Soyons, clair, ce n’était pas une volonté de ma part de laisser autant d’avalure (ou même de laisser la moindre avalure d’ailleurs). Mais ma région étant sablonneuse, il y a peu d’usure naturelle. Je pare donc mes chevaux toutes les 3 semaines.
Pour l’anecdote, il y a 15 ou 20 ans maintenant, j’ai acheté une jeune jument qui est arrivée chez moi et qui s’est mise à boiter très fort deux jours plus tard. Le vétérinaire a cru à une entorse et, vous l’aurez deviné, il s’agissait en réalité d’un abcès. Bien entendu, pour soulager l’entorse elle a eu des anti-inflammatoires…et l’abcès est devenu TRES gros. Il a fini par prendre une grande partie de la sole. Comme cela se faisait à l’époque, mon maréchal a supprimé toute la sole « morte » (il m’a même fait toucher le chorion…). Et bien je vous le donne dans le mille…il ne s’est rien passé. Après que l’abcès ait été ouvert, à AUCUN moment ma jument n’a boité. La sole s’est refaite et on n’en a plus jamais parlé. Enfin jusqu’à aujourd’hui.
Encore une fois, qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit : la gestion des abcès peut se faire autrement, je raconte juste de manière factuelle un évènement qui s’est produit il y a plus de 15 ans.
L’exemple de ma jument est un exemple parmi des milliers : quand la sole n’est pas porteuse et que la paroi est la SEULE structure extérieure qui porte, P3 reste suspendue uniquement par la liaison podophyle-kéraphyle. Observez des dissections que vous trouverez facilement sur Youtube : pour détacher la paroi de P3, il faut un étau et une énorme pince. C’est plus facile quand le pied est cuit.
Et la fourchette dans tout ça ?
La fourchette est AUSSI porteuse, mais plutôt dans son tiers arrière. D’ailleurs la fourchette n’est ni plus ni moins que la projection extérieure du coussinet digital. Si la fourchette dépasse, elle doit être taillée dans la même mesure que les autres structures. Encore une fois chez les chevaux fourbus, c’est parfois le petit détail qui fait toute la différence. L’apex de la fourchette est située au centre de P3. S’il dépasse du pied (ce qui arrive souvent après parage), ça peut être extrêmement douloureux pour le cheval…qu’il soit fourbu ou non. Personnellement, si ça dépasse, je taille. C’est aussi simple que ça.
En conclusion, toutes les structures du pied ont un rôle porteur (sauf la sole primaire).
Il n’y en a pas une à privilégier…ou encore à supprimer totalement. D’ailleurs, en toute objectivité, si votre cheval a les pieds qui poussent normalement, quelques jours après parage sa paroi redevient légèrement porteuse (sauf s’il se déplace régulièrement sur des sols abrasifs bien-sûr).
Faut-il laisser la paroi porteuse ? Non…si vous entendez par là qu’il faille laisser de l’avalure (c’est-à-dire de la hauteur ou de la longueur de paroi). Mais oui par contre lorsqu’on coupe la paroi au même niveau que la sole et qu’on supprime l’appui de la paroi externe.
Donc être parfaitement explicite :
- Paroi interne porteuse : OUI (mais au même niveau que la sole)
- Paroi externe porteuse : NON (c’est elle que je rolle…bien que mon roll vienne généralement mourir au niveau de la ligne blanche)
Et là où il n’y a pas d’avalure même après 3 semaines, c’est tout simplement parce que le cheval use ses pieds précisément à ces endroits là. Est-ce grave ? Absolument pas. Cela traduit juste que ce cheval là a une posture et une locomotion différentes de celles de son voisin de pré.
Mais ça, c’est encore un autre sujet.
Nota : j’ai ajouté « sauf la sole primaire » à la relecture de cet article, j’en parlerai plus en détail à l’occasion d’un futur article sur la descente distale.
Nota bis : quand je parle de roll, je parle bien d’arrondi et non pas d’un biseau (tout droit). Le roll a à mes yeux une fonction ergonomique et de finition du parage.
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