Qui suis-je ?
Pour ceux qui ne me connaissent pas, je m’appelle Catherine Seingry. Beaucoup me connaissent sous mon pseudo facebook Catherine Kit. Pourquoi avoir choisi un pseudo et non pas mon véritable nom me direz-vous ? Tout simplement parce que malgré mes demandes, Facebook n’a jamais mis à jour mon véritable nom ! Ce qui, en soit, n’est pas bien dramatique !
En ce qui concerne les chevaux, je suis avant tout une passionnée qui se forme depuis bientôt 25 ans dans le domaine équestre. Ni maréchale ferrant, ni vétérinaire, j’ai aujourd’hui à cœur d’analyser, de comprendre, et de trouver des solutions pour aider les équidés fourbus.
Je ne veux laisser place à aucune ambiguïté : en AUCUN CAS mes conseils ne se substituent à l’avis d’un vétérinaire et/ou d’un maréchal ferrant compétents. L’accompagnement que je propose est à adjoindre au champ de compétence de ces professionnels
Mon parcours
La formation pour le BEES 1 que j’ai suivie en 2002 a confirmé ma passion pour la biomécanique et la locomotion. J’ai continué à me former dans ce domaine depuis de nombreuses années afin de mieux comprendre et aider les chevaux qui m’entourent. Si cela m’a longtemps servi uniquement dans le cadre de l’équitation, désormais j’utilise aussi ces compétences pour évaluer les pieds des chevaux et la cause du déséquilibre de ceux-ci.
Parallèlement à cela, j’ai longtemps étudié les différentes approches des médecines alternatives, notamment la naturopathie humaine et équine, ainsi que toutes les approches alternatives que je découvrais au fur-et-à-mesure des années.
Et parce que cela me paraissait être une suite logique, je me suis formée aux thérapies manuelles que sont le massage sportif équin (méthode de Kurt Hyurgue) et le bodywork (méthodes d’April Battle et de Caroline Lindsay entre autres).
J’espère d’ici peu trouver le temps de me former en shiatsu et en MTC !
Plus récemment, grâce à mon statut d’éleveuse, j’ai eu accès à d’autres formations : comprendre l’inné locomoteur du cheval, approche de l’ostéopathie (sessions réservées aux éleveurs), travail énergétique et surtout, j’ai eu la chance d’être formée en kinésiologie animale. La prochaine étape à venir pour compléter cette dernière formation est le travail cranio-sacré. Enfin, entre autres choses, j’ai aussi suivi le cursus en évaluation biomécanique de Marie-Sophie Sylvestre.
La fourbure...et moi !
J’ai été amenée à rencontrer de nombreux équidés fourbus. Mais celui qui m’a conduite dans la démarche que je poursuis aujourd’hui est mon poney de cœur, mon joli Tristam. C’est parce que la prise en charge classique n’a pas fonctionné pour lui que j’ai décidé de tout reprendre à zéro, ceci totalement seule. Je devais le sauver, c’était tout simplement devenu viscéral chez moi…et je sais que la plupart d’entre vous partagent ce sentiment. C’est lui qui m’a ouvert la voie, c’est lui qui m’a amenée ici. Lui, et tous les autres qui ont suivi derrière….
Laissez-moi vous raconter rapidement mon histoire. NOTRE histoire.
Je parais déjà mes chevaux il y a quelques années en arrière, mais ceci de manière beaucoup plus archaïque que je ne le fais aujourd’hui, sans vraiment me questionner sur quoi, comment et pourquoi. Puis suite à ma grossesse et à la naissance de ma fille, de gros soucis de santé m’ont obligée à refaire appel à un maréchal ferrant.
En 2019, mon poney Tristam a été atteint de fourbure sévère : rapidement, la bascule a atteint 14 et 17° sur ses postérieurs. Il y avait peu de bascule sur ses antérieurs, mais la radio a permis de déterminer une descente distale. Bien que j’adore mon ancien maréchal-ferrant et que je ne remette absolument pas ses compétences en question (il a toujours été formidable avec mes chevaux), il s’est rapidement avéré que la méthode traditionnelle ne convenait pas. L’état de Tristam a continué à se dégrader, nous laissant ainsi seuls tous les deux : moi face à un immense sentiment d’impuissance et lui face à sa douleur. Le voir dans cet état était un véritable drame pour moi.
C’est donc à la fin de l’année 2019, suite à la fourbure de Tristam, que j’ai recommencé à me former de manière acharnée en parage physiologique, étudiant et décortiquant chaque méthode que je découvrais afin de conserver ce qui me paraissait être le meilleur de chacune. Ce travail m’a plus tard permis de synthétiser une approche globale pour les diverses pathologies du pied. Mais à l’époque, je me suis plus particulièrement spécialisée dans la pathologie à laquelle j’étais confrontée à ce moment-là : la fourbure.
En effet début 2020, en plein confinement, j’ai eu la chance d’assister à un webinaire qui a été une véritable révélation pour moi : on pouvait guérir la fourbure ! La guérir totalement ! Je me suis alors mise à chercher partout de manière totalement frénétique et désordonnée : je DEVAIS sauver mon poney ! Il ne méritait pas de souffrir et encore moins de mourir à cause de mon manque de connaissances. Je me suis vite rendu compte qu’il y a beaucoup de rétention d’informations, beaucoup de confusions et beaucoup de guerres de chapelles au sujet de cette pathologie (et au sujet de la podologie équine en général d’ailleurs). J’ai alors décidé de rassembler absolument tout ce que j’allais trouver et de le synthétiser à la manière d’un mémoire de recherche. C’est de ce travail que sont nés mes deux premiers livres. Ce n’est à vrai dire que lorsque j’ai eu la confirmation que Tristam a été guéri que j’ai décidé de publier le premier. Le second était déjà en grande partie écrit. Il devait n’être qu’un chapitre du premier Tome, mais je découvrais sans arrêt de nouvelles choses. J’ai finalement décidé de les publier séparément car je trouvais cela beaucoup trop important de partager mes nouvelles connaissances sans attendre d’avoir fini toutes mes recherches sur les pathologies associées à la fourbure.
Et, hasard de la vie, Utopia, une autre de mes juments qui n’avait jamais fait de fourbure jusque là a déclenché une crise juste au moment où mon premier livre est sorti ! Contrairement à ce qui aurait pu se passer, cela s’est avéré extrêmement positif : d’abord j’ai pu confirmer que la méthode que j’avais appliquée pour Tristam fonctionnait sur elle (et elle a bien entendu aussi fonctionné sur de nombreux autres chevaux durant toutes mes recherches), mais surtout, cela m’a amenée à creuser le sujet beaucoup plus profondément que je ne l’avais envisagé jusque-là. Grâce à elle, j’ai compris que j’avais encore beaucoup…beaucoup à découvrir. J’ai d’ailleurs fini par comprendre qu’en voulant lui éviter une fourbure cette année là en la remettant au travail, c’est moi qui ait déclenché sa crise.
C’est donc d’abord grâce à mes chevaux que j’ai identifié ce qui me tient particulièrement à cœur aujourd’hui : la réhabilitation des chevaux fourbus. Et ce, que la crise soit récente ou que les chevaux qu’on me présente soient fourbus chroniques. Et bien entendu, le sujet du parage étant particulièrement addictif, j’ai très vite refait des liens avec mes premières amours : la biomécanique et les adaptations posturales…et donc les problèmes de pieds qui en découlent (APN, maladie naviculaire, etc.).
C’est ainsi que j’ai commencé à suivre de nombreux chevaux. D’abord de manière bénévole, puis, les suivis étant très prenants et de plus en plus nombreux, je me suis peu à peu professionnalisée, ce qui me permet aujourd’hui d’offrir un contenu et un accompagnement que je souhaite de la meilleure qualité possible.
La naissance d'Equi Holistique
La philosophie d’Equi Holistique vient de la manière dont j’ai toujours abordé les chevaux et l’équitation : un esprit sain dans un corps sain, et surtout une prise en charge globale et respectueuse de cet être qui me fascine tant depuis toujours.
Mes chevaux ont toujours vécu en grande partie au pré, avec tout le confort que j’ai été capable de leur apporter : un maximum de liberté autour de structures fermées aux intempéries et une alimentation la plus naturelle possible, à base d’herbe et de foin.
Cette passion est depuis l’enfance littéralement dévorante pour moi : avant même que « l’équitation éthologique » ne devienne à la mode, je dévorais déjà les ouvrages des « nouveaux maîtres américains » ainsi que les vidéos que l’on trouvait à l’époque. Alors que je préparais mon baccalauréat (en 1998 !), mon livre de chevet était… « Equitation Académique » du général Decarpentry. Un autre de mes livres favoris de l’époque était le magnifique « Vers une équitation totale » du regretté Jean-Claude Racinet, qui y abordait déjà le lien profond entre ostéopathie et équitation. Un peu plus tard, j’ai eu la chance de préparer une partie du BEES1 d’équitation avec une ostéopathe équine : cela m’a ouvert la voie vers la compréhension de la biomécanique et surtout de ce que je ressentais à cheval sans être capable à l’époque de l’expliquer.
Je suis par la suite devenue professeur des écoles et malgré un travail extrêmement prenant (je vous l’assure), ma passion ne m’a jamais quittée et j’ai continué à me former de manière frénétique. J’ai en parallèle démarré un petit élevage de chevaux de sport. Mais j’aime décidément trop mes chevaux, et vendre mes poulains m’est trop compliqué. La plupart sont restés avec moi malgré de jolies propositions.
Bien des années plus tard, le tout premier de mes poulains, Tristam, a été gravement fourbu. Je me suis alors replongée dans la pratique du parage sans savoir que dans ce domaine on pouvait être à 100% autonome, même avec des chevaux parfois vraiment compliqués. L’évolution de sa maladie m’a fait remettre en lien tout ce que j’avais appris jusque-là, en y apportant de nouvelles connections grâce à ma compréhension toute neuve de la fourbure.
J’étais partie de la biomécanique, en passant par la naturopathie, me formant à certaines thérapies manuelles…et j’étais revenue à la podologie grâce à Tristam. Et là c’était comme si tout-à-coup absolument tout s’était mis spontanément en lien : la boucle était bouclée, et c’est là qu’Equi Holistique est né !
Pourquoi me faire confiance ?
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- Parce que j’ai un jour été à votre place et que j’ai ressenti les mêmes sentiments que vous face à cette terrible situation
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- Parce que je sais parfaitement la solitude et les interrogations que cela représente
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- Parce que je veux réellement et sincèrement vous aider et aider votre cheval à aller mieux
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- Parce que c’est ma réputation que je mets en jeu dans chacun des conseils que je donne
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- Parce que je ne m’intéresse qu’aux informations fiables, que je n’aime pas les « il parait que » et qu’en cas de doute, je me réfère toujours à ce que dit la science (et surtout je cherche jusqu’à trouver des réponses claires). Et si la science ne dit rien…je teste par moi-même !
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- Parce que j’ai passé plus de trois ans à faire des recherches quotidiennes en rapport avec la fourbure, pour moi-même et mes propres chevaux, mais aussi pour l’écriture de mes livres ainsi que pour mes accompagnements
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- Parce que j’ai lu des tonnes de publications scientifiques, et que je trouvais à l’époque tout simplement égoïste de garder pour moi mes recherches ou de ne les réserver qu’à une clientèle capable de me verser un, voir plusieurs mois de salaire pour y accéder (c’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai décidé de tout-de-même continuer à travailler sur mon second livre alors qu’en parallèle je développais ma plateforme sur la fourbure
Parce que les chevaux passeront toujours l’argent, j’ai fait le choix de restreindre mes tarifs, sachant l’investissement financier que la fourbure représente. Actuellement la mode est aux formations « chères » et mes accompagnements devraient en théorie se vendre à plus de 2000€…chose que je refuse formellement : il s’agit de LA VIE de vos chevaux. Je passe beaucoup de temps avec chaque personne que j’accompagne parce qu’avant d’être un métier, c’est une vocation.